• Dossier
  • De Diar-El-Mahçoul à Sidi Bennour : Aspects de la réception de l’œuvre de Fernand Pouillon chez Jean-Jacques Deluz

    par Mourad BOUZAR
    Architecte Aménagiste

    Personnage iconoclaste, provocateur et sûr de lui, présenté comme le « maître d’œuvre ultime » par l’historien Pierre Frey, Fernand Pouillon a longtemps été maintenu en marge de l’histoire de l’architecture du XXe siècle. L’ostracisme qui, durant les deux décennies qui suivent ses réalisations algéroises, frappe son œuvre, semble moins dû à son « anachronisme » qu’aux jalousies et aux inimitiés suscitées par l’ampleur de ses réalisations comme en témoigne Bernard Huet : « En 1956 et 1957,