Djillali TAHRAOUI
Architecte‑enseignant
Article rédigé sur la base d’une expérience vécue et à l’appui du rapport du BEWO : Stade olympique, étude urbanistique ‑ Octobre 1989
L’idée de doter la ville d’Oran d’un stade olympique ne date pas de ce début du siècle. En effet, l’ancien stade Habib Bouakeul (Monréal), construit en 1946, et le stade Ahmed Zabana (Municipal puis 19 juin), en 1957, ne pouvaient répondre aux besoins sportifs de la ville d’Oran.
Texte rédigé à partir d’informations recueillies sur le site du comité olympique des Jeux Méditerranéens
Le bassin méditerranéen est le lieu de rencontre de trois continents l’Afrique, l’Asie et l’Europe. Il est le lieu de naissance des trois grandes religions monothéistes. Il est aussi le berceau des Jeux
Olympiques… Mais c’est une région hélas régulièrement secouée par des turbulences et des conflits aux effets dramatiques sur les populations.
Nadjib BELMOKHTAR
Architecte
Oran haut lieu du sport méditerranéen et néanmoins capitale des jeux pour l’année 2022 s’apprête à accueillir des concurrents dans 24 disciplines différentes. Des installations nouvelles sont prévues pour encadrer ces jeux, mais le monde qui nous regarde sait-il que l’histoire sportive d’Oran est plus ancienne que ce que l’on pourrait s’imaginer.
Pour n’en citer que des bribes, Oran a connu dès le début du siècle dernier des installations dédiées aux sports multiples et leurs histoires méritent d’être racontées.
Illustration : La Grande Poste d’Alger (1910-1913)
Architecte : Jules Voinot (assisté de Marius-Denis Toudoire)
Saïd ALMI
Anthropologue urbaniste, Chercheur
Tout comme les grandes doctrines économiques et sociales que connut la France du 19ème siècle ne demeurèrent pas sans effet sur ses possessions nord-africaines, les idées relatives à l’aménagement de l’espace y trouvèrent un terrain d’élection ou d’expérimentation.
Au tournant des 19ème et 20ème siècles,
par Saddek BENKADA
Socio-Historien
Cette contribution n’a pas pour ambition d’approfondir une question qui, de toute évidence, relève de prime abord de la compétence des historiens de l’architecture, notamment de l’architecture ottomane en Algérie. Notre seul souci à travers cet article est d’attirer l’attention des archéologues et des architectes sur l’intérêt qu’il pourrait y avoir à s’intéresser, d’un peu plus près, aux inscriptions commémoratives des monuments de l’époque ottomane comme source privilégiée pour le relevé des noms d’architectes,
Saddek BENKADA
Historien, chercheur au CRASC
Les grandes réalisations hôtelières entreprises ces dernières années, dans différentes villes du monde, prouvent à souhait, si besoin est, les mutations qui sont en train de s’opérer dans les activités hôtelières, notamment de luxe et de loisirs, et ce, pour répondre à une clientèle de plus en plus nombreuse et fidèle mais plus exigeante, tant en matière de goût que de confort,